Jean Daval est né aux Haies Vallées, au Girmont, le 20 Novembre 1930, et Suzanne le 9 septembre 1930 à St Bresson. Tous deux se rencontrèrent et décidèrent d'unir leurs destinées pour le meilleur et pour le pire, selon la formule consacrée, le 20 octobre 1954.

Les cérémonies (civiles et religieuses) se déroulaient alors à St Bresson.

Depuis la roue a tourné. Jean a eu une activité de débardeur forestier tout en exploitant la ferme familiale des Haies Vallées avec son épouse Suzanne. Une grande famille allait être accueillie avec la venue de 10 enfants : Vincent, Jean Louis, Chantal, Bruno (décédé), Marie-Jeanne, Stéphane (décédé), Dorothée, Rachel, Raphaëlle et Bénédicte.

Très vite les enfants se sont investis dans les diverses activités de la maison, plus précisément, à partir de 1976 lorsque le couple créait la ferme auberge St Vallier (reprise aujourd'hui par sa fille Chantal). Aujourd'hui, malgré la retraite Jean et Suzanne continuent, dans un geste de bienveillance, à se rendre à l'auberge.

Une certaine "fibre de l'entreprendre" a été transmise à toute la descendance de Jean et Suzanne, qui compte aujourd'hui 29 petits enfants et 8 arrières petits enfants. Mais le compteur continue de tourner, et prochainement, deux nouvelles petites têtes viendront rejoindre la grande famille !

Avec du recul, Jean nous dira combien il a apprécié tout le bonheur que lui a apporté sa grande famille dans toute sa diversité. Bien sûr comme tout le monde, il y a eu des heures plus sombres lors de la disparition de différents êtres chers, des moments plus difficiles lorsque des accidents entravent votre activité professionnelle, mais la vie continue, il faut garder la tête haute.

Jean et Suzanne ont réussi a rassembler toute leur belle famille ce samedi. Une messe d'action de grâces a été célébrée par l'Abbé Leyval en l'église du Girmont, puis tout le monde s'est retrouvé au restaurant au Val d'Ajol pour fêter dignement autour d'une belle table, ces 60 ans de vie commune. Marcel Daval, frère de Jean avait également été confié au festin servi dans l'auberge que Marcel avait créé et qui est demeurée une affaire familiale.

A Jean et à Suzanne, nous adressons nos sincères félicitations et espérons un bonheur à partager encore durant de nombreuses années.