Denis a fait sa carrière dans la gendarmerie. Il a commencé à la côtoyer en 1977 en entrant à la gendarmerie mobile de St Etienne les Remiremont. Puis il intégrera successivement les brigades en Savoie, dans l'Isère et dans le Rhône.

C'est en 2002 qu'il posera ses valises à Tahiti et sera affecté, au nord de Tahiti, à la brigade de Mahina, durant 3 ans, avant de profiter d'une retraite bien méritée, qu'il vit à Mooréa.

Aujourd'hui, il est secrétaire pour l'Union des Personnels et retraités de la gendarmerie, c'est lui qui nous avait fait partager la nécrologie et l'avis de décès de Robert André, ajolais, habitant en Polynésie, décédé en décembre 2018, et avait permis à sa famille en métropole de pouvoir suivre en direct ses obsèques.

Comment vit-on en Polynésie ?

Il y fait toujours bon, de juin à fin août, c'est la saison froide, suivant le lieu, la température peut varier de 7° à 23°. De novembre à avril, c'est la période cyclonique.

On y trouve palmiers, cocotiers, vanille, fruits exotiques, des "aïto" bois de "fer" (une sorte de sapin des îles). Aïto signifie également "guerrier".

Il y a 282 000 habitants dont 170 000 à Tahiti et 19 000 à Mooréa. 135 îles y sont dénombrées avec 85 habitées.

On y pêche le thon, l'espadon, on exploite l’ébonite et les perles. Le tourisme est très développé.

Denis revient régulièrement dans les Vosges, il y retrouve ses amis, sa maman : Reine, 87 ans et sa famille. Il est arrivé le 17 juin et repartira le 29 août. Marié à une polynésienne, il n'envisage pas de revenir en France dans l'immédiat.

il nous a fait remarquer que le président de la république venait de s'envoler de Polynésie après une journée bleue et verte passée sur l'île de Mooréa.

Merci Denis pour ce moment de partage.